mai 27, 2011

Comment sortir systématiquement du sable – bunker ? Partie 1

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Une bonne sortie de bunker commence par un bon choix de club. C’est le sand-wedge : un fer à la tête lourde, très ouvert, avec un socle arrondi qui touche le sol avant l’arête de la face, évitant de pénétrer trop profondément dans le sable. Bien sur, les sorties de bunkers sont possibles avec d’autres clubs, mais elles sont presque toujours plus difficiles. Par conséquent, si vous n’avez pas de sand-wedge, achetez en un ! C’est le meilleur investissement pour votre score. Il faut aussi être confiant et positif en face de ce coup.

Cela s’obtient en s’entraînant beaucoup. De nombreux joueurs sont terrifiés parce qu’ils ignorent le technique des sorties de bunkers et en l’ont jamais travaillée. Le postulat est de « couper » du sable sous la balle. Sur ce thème, on peut construire de nombreuses variations. Plus vous en saurez, mieux vous jouerez ce coup. La façon idéale d’apprendre est bien entendu de prendre des leçons mais les sorties de bunkers sont avant tout des coups « sensation » au feeling et rien ne pourra remplacer l’entrainement personnel le plus fréquent possible.

mai 17, 2011

Problèmes et techniques spécifiques du putting – Partie 2

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Avez-vous remarqué combien de fois les joueurs de golf professionnels viennent observer en détail les abords du trou ? Beaucoup de hauts handicaps restent hauts car les joueurs ne comprennent pas ce qu’ils font sur le green. Il faut repérer avec attention les irrégularités autour du trou. Il est bien connu que plus la vitesse d’un putt décroît, plus la balle est sensible aux pentes, aux aspérites du terrain etc. Et ce se produit surtout près du trou, dans les derniers centimètres avant d’atteindre le but. Le par ou moins.

La chance joue toujours son rôle. Sur les greens tr-s abîmés, marqués des clous, c’est flagrant. Mais voici un moyen de minimiser ces effets : un putt tapé normalement ne subit presque aucun effet sur les premiers centimètres de sa course – en fait, la balle glisse, avant de rouler réellement. Passer sur une bosse, une marque, pendant ce glissement, est plus grave lorsque la balle roule déjà. Même si la déviation n’est que de 1 millimètre au départ, elle se compte parfois en dizaines de centimètres à la fin du putt. Pour résoudre ce problème ou du moins en limiter les conséquences, vous allez apprendre à taper la balle à la remontée de la tête du putter. Ainsi roulera–t-elle presque tout de suite. Les effets des irrégularités dès les premiers centimètres du put seront ainsi beaucoup moins ressentis.

En nuançant un peu votre façon de taper, vous vous adapterez certainement mieux aux différents types de gazons. D’abord ouvert puis fermer au putting, ce type d’impact permet de mieux faire rouler la balle sur le gazon « Bermuda ». Sur les greens ultra-rapides, un style inverse, un impact plus doux permet de mieux appréhender la trajectoire. Enfin sur les greens moyennement rapides et très francs, jouer totalement square-to-square, empêchant la face du putter de s’ouvrir ou de se fermer si peu que ce soit durant le coup.

La série sur le putting est terminé, retrouvez sur Blog Golf de nouvelles infos golf et articles sur les techniques d’entrainement pour chaque golfeur qui recherche à baisser ses scores.

mai 14, 2011

Problèmes et techniques spécifiques du putting – Partie 1

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Il y a peu de chances pour que se ce soit à cause de votre putter que vous ratez quelques petits putts. Mais si cela devient fréquent, changer d’instrument peut provoquer un choc psychologique salutaire. Cela peut même se révéler indispensable si votre putter habituel ne correspond plus à votre style de putting et aux greens du parcours. Si votre technique préférée est le coup long, fluide, balayant vous vous sentirez certainement plus à l’aise avec un putting « tapotant », en rap, comme l’on dit, un club de poids moyen, voire léger, sera l’idéal.

D’évidence, plus les greens sont rapides, plus les bons joueurs préfèrent y employer un club plutôt léger. Si vous ne savez plus où vous en êtes, demandez à votre conseiller de vous laisser tester cinq ou six putters.

La rapidité du gazon, le grain et les pentes sont les principaux éléments de lecture d’un green, mais gardez à l’esprit des facteurs déterminants quoique moins voyants. Par exemple la rosée a un effet ralentisseur le matin et le soir. En conséquence, les greens très rapide devienne soudain lent à la suite d’un petit orage – il faut en général des trombes d’eau pour amollir le sol.

Souvenez-vous encore que, par beau temps, l’herbe pousse vite, au fur et à mesure que vous jouez ! Les greens sont doc plus lents à la fin de la partie et plus graineux. Tenez compte enfin du vent, qui joue sont rôle sur les fortes pentes et lorsque l’inertie de la balle augmente à la fin des longs puts.

avril 30, 2011

Baisser ses scores en finesse

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« Travailler la balle » est le genre d’expression que les bons joueurs emploient pour des coups qu’ils réussissent à volonté. Cela signifie essentiellement donner de l’effet à la balle de golf pour que les trajectoires soient tout en finesse. Mieux vous y parviendrez, plus vous pourrez améliorer votre stratégie et plus vos scores s’abaisseront. Taper des balles hautes ou basses doit être votre premier objectif. Si vous voulez taper une balle très haute, servez-vous de tout le manche du club et serrez vos mains au minimum. Si vous voulez taper une balle très basse, baissez déjà vos mains sur le manche, et serrez davantage avec vos doigts, vos poignets et vos avant-bras de l’adresse à l’impact.

La hauteur de la balle vient de l’effet back-spin, produit par l’utilisation maximale de l’ouverture de la face du club. On y parvient en laissant la tête du club  traverser complétement la balle, sans retenue, sans fermer l’angle. Adressez la balle un peu plus en avant, pour ouvrir légèrement la face. Alignez-vous légèrement vers la gauche. ne serrez pas trop le manche et détendez vos poignets, afin d’être certain de vraiment relâcher avec la tête du club. Travaillez tout cela au practise, avant de le tenter sur le parcours. essayez de bien sentir que votre main droite se trouve sous la gauche, même après l’impact. Ne vous servez de cette technique que si le lie est excellent.

 

avril 14, 2011

Planter le tee

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La règle générale veut que l’on plante son tee de façon à taper la balle vers le bord le moins exposé du fairway. Par exemple, si un trou a des bunkers à gauche et un hors-limites à droite, posez votre balle sur le coté droit du tee de départ et tapez vers la gauche du fairway.

Placez-vous sur la gauche au départ et alignez-vous sur la gauche du faiway losque le vent souffle de droite à gauche. Il est important de bien choisir un endroit parfaitement plat sur le tee, pour y poser la balle de golf. Dans votre recherche, souvenez-vous que la balle peut être jouée de n’importe où entre les boules départ et, à l’arrière, sur une longueur de deux clubs.

Pour la plupart des drives, placez la balle à la même hauteur. Là on vous pouvez frapper la balle exactement au point le plus bas de l’arc de swing. Une théorie veut qu’une balle doit être plus haute pour un coup haut et plus basse pour un coup bas. Cela reste de la théorie… La hauteur classique pour la balle est que le milieu de la balle doit arriver exactement au sommet du driver lorsque celui-ci est posé sur le sol.

Certains joueurs n’utilisent pas toujours le tee sur les trous courts et posent simplement la balle par terre. Ceci est étrange sachant que vous avez l’occasion de jouer sur un lie parfait grâce au tee. En principe, plus le club est long et plus vous voulez envoyer la balle, plus il faudra laisser dépasser le tee du sol. Ainsi vous éliminerez le risque de back-spin mais également le risque de frapper le sol avant la balle.

mars 31, 2011

Le pollen et le golfeur Ian Poulter

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Etant allergique au pollen, l’herbe et ayant le rhume des foins, c’est une période très dure pour le golfeur anglais Ian Poulter. Le printemps et l’été risquent d’interférer ses performances.

C’est pourquoi, il prévoit une injection antihistaminique avant le Master d’Augusta et s’informe des moyens efficaces pour minimiser son allergie.

Trois ans auparavant, il a effectué une chirurgie laser des yeux pour lui éviter de porter ses lentilles. « Un plus énorme » dit-il.

Pour le moment, il se protège à l’aide de lunettes, de spray-nasal, de gouttes, de sérum et de comprimés.

mars 07, 2011

Les trois grips de base

Le grip le plus connu et le plus utilisé au golf est celui que Harry Vardon a rendu universel: Le « grip Vardon ». L’auriculaire de la main droite est placé entre l’index et le médius de la main gauche. Ce grip permet de garder les mains bien ensemble, sans trop de tension.

Les joueurs voulant garder les mains encore plus ensemble adoptent un « grip croisé » ou interlock en anglais, où l’auriculaire de la main droite et l’index de la main gauche sont croisés et enchainés ensemble, l’un dans l’autre.

Le troisième choix qui s’offre est le grip à deux mains, dit « Ten finger grip » ou « Baseball grip ». C’est celui qui convient le mieux aux joueurs qui ont de petites mains et veulent avoir le club en main aussi solidement que possible. Là, les dix doigts des deux mains sont tous sur le club, sans chevauchement ni croisement des doigts.

Élément important: la pression du grip. Il est évident qu’il faut tenir le club bien en main pour ne pas en perdre le contrôle avec la vitesse du swing. Mais il ne faut pas étrangler le club en gardant une certaine souplesse. Sinon cela crée une certaine tension qui se répercute dans les bras et affecte tout le mouvement