Problèmes et techniques spécifiques du putting – Partie 1

Il y a peu de chances pour que se ce soit à cause de votre putter que vous ratez quelques petits putts. Mais si cela devient fréquent, changer d’instrument peut provoquer un choc psychologique salutaire. Cela peut même se révéler indispensable si votre putter habituel ne correspond plus à votre style de putting et aux greens du parcours. Si votre technique préférée est le coup long, fluide, balayant vous vous sentirez certainement plus à l’aise avec un putting « tapotant », en rap, comme l’on dit, un club de poids moyen, voire léger, sera l’idéal.

D’évidence, plus les greens sont rapides, plus les bons joueurs préfèrent y employer un club plutôt léger. Si vous ne savez plus où vous en êtes, demandez à votre conseiller de vous laisser tester cinq ou six putters.

La rapidité du gazon, le grain et les pentes sont les principaux éléments de lecture d’un green, mais gardez à l’esprit des facteurs déterminants quoique moins voyants. Par exemple la rosée a un effet ralentisseur le matin et le soir. En conséquence, les greens très rapide devienne soudain lent à la suite d’un petit orage – il faut en général des trombes d’eau pour amollir le sol.

Souvenez-vous encore que, par beau temps, l’herbe pousse vite, au fur et à mesure que vous jouez ! Les greens sont doc plus lents à la fin de la partie et plus graineux. Tenez compte enfin du vent, qui joue sont rôle sur les fortes pentes et lorsque l’inertie de la balle augmente à la fin des longs puts.


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