Problèmes et techniques du putting (1/4)

Votre putter n’y est sans doute pour pas grand-chose si vous ratez quelques petits putts. Mais si cela devient fréquent, changer d’instrument peut provoquer un choc psychologique salutaire. Cela peut même se révéler indispensable si votre putter habituel ne correspond plus à votre style de putting et aux greens du parcours. Si votre technique préféré est le coup long, fluide, balayant, vous vous sentirez certainement plus à l’aise  avec un putter assez lourd en tête et dont le manche sera un peu plus long que la normale. Si votre putting est tapotant, en rap, comme l’on dit, un club de poids moyen, voire léger, sera l’idéal. D’évidence, plus les greens sont rapides, plus les bons joueurs préférence employer un club léger. Si vous en savez plus où vous en êtes, demandez à votre conseil de vous laisser tester cinq ou six putters et qu’il vous aide également sur votre techniquement (les défauts ressortiront plus nettement en essayant plusieurs putter différents).

La rapidité du gazon ; le grain et les pentes sont les principaux éléments de la lecture d’un green, mais garez à l’esprit des facteurs déterminants quoique moins voyants. La rosée du matin a un effet ralentisseur le matin comme le soir. En conséquence, les greens sont à leur vitesse maximale au milieu de la journée. N’espérez pas qu’un green très rapide devienne soudain lent à la suite d’un orage (il faut en général des trombes d’eau pour amollir un sol). Souvenez-vous encore que, par beau temps, l’herbe pousse vite, au fur et à mesure que vous jouez, et que les greens sont donc plus lents à la fin de la journée qu’ne début de partie.

Tenez compte du vent qui joue son rôle sur les fortes pentes et lorsque l’inertie de la balle augmente, à la fin des longs putts.


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